Le bonbon à la menthe – Partie 1 – J6

Blocages

Après le décès de mon père (12h57)

Maman est en galère. Son aîné est là, il la protège financièrement et psychologiquement. Elle est sevrée d’alcool. Elle m’invite à déjeuner seule. Maman est fière de son fils adulte, directeur, beau, atypique. A ses yeux, je suis son modèle masculin. Surprise ! à table… Béatrice… je panique. Je me dis : « n’aies pas peur, tu es adulte maintenant » (j’ai bientôt 40 ans). Mondanités à table. Au dessert, je me lâche : « Béa ! tu te rends compte de ce que tu as fait ? Tu as influencé toute ma vie sexuelle et amoureuse. Dis-moi sincèrement, pour faire autant de mal, tu étais amoureuse ? ». Elle me regarde : « oui je t’aimais et d’ailleurs je t’aime toujours. Pour atteindre l’orgasme avec mes différents partenaires, je pense à toi et nos parties de sexe ». Je suis sur le cul. Ma réponse : « si tu m’as aimé, je vais pouvoir te pardonner ! Es-tu prête à coucher avec moi ? ». Elle me répond : “quand tu veux ou tu veux”.

Le soir même, je passe chez elle, je la démonte… quand elle se met à crier au secours tellement c’est fort (elle se plaint de ses ovaires), je la prends par les cheveux, lui tire sa tête : « regarde moi ! ». Elle fuit… « regarde moi salope !”. J’appuie sur ses ovaires, elle panique, ne tient pas mon regard. “Regarde moi ou je te démonte ! ». Elle me regarde avec des yeux d’enfant et j’éjacule en elle. Je ne l’ai plus jamais revu sauf au décès de maman, elle m’a fui mais j’ai vu qu’elle m’observait de loin.

Je vous jure Madame, de l’autre côté de l’écran, sur ce que j’ai de plus cher, que ce récit n’est pas romancé.

Mon père (15h02)

Lors d’un repas de famille, mon père s’est levé et m’a regardé : « Laurent, je te demande pardon mon fils ». Ça a fait un froid dans l’assemblée, peu comprenaient de quoi il s’agissait. Je lui aurais sûrement pardonné s’il s’était suicidé au lieu de nous casser les couilles en fin de vie. Oui, j’aurai la haine jusqu’à mon dernier souffle. Fuck papa et ta morale de merde, ton homophobie, du fait de considérer toutes les femmes comme des salopes, ton machisme, ta bêtise… pauvre con…

Avez-vous lu ma page Fb et cliquez sur le lien de la définition de la bêtise de Brel ?

Mon dernier plan cul hors ma femme (15h50)

Je suis contacté par un bi que nous connaissons depuis plus 10 ans, un ex amant de ma femme. Il veut que je le reçoive féminisé. Il y a trois semaines, ma femme est avec Gollum en club libertin. Il me veut féminisé avec des collants (j’adore les bas pfff), robe, maquillage, perruque, je suis toute chaude. Il arrive, je suis entrain de mettre de la musique sur l’ordinateur. Il me surprend ! Zut… ça démarre mal. Il se frotte, m’embrasse, me fait un trou devant mon kiki dans mes collants (merde ça coûte cher !). Je lui offre un verre. Il me fait tellement perdre la tête (violence, douceur) que je suis incapable de raconter la chronologie. J’avais à sa demande préparé plusieurs tailles de courgettes et carottes. J’ai tout eu (d’après débriefing), plus quatre de ses gros doigts. J’étais en subspace, j’ai pris un pied d’enfer et lui a fini dans ma bouche. C’est tout ce dont je me souviens. Mais venait-il pour moi ou espérait-il revoir ma femme à cette occasion ? Et oui, j’ai aussi ce problème… la naine est ma rivale !!!

Mon couple (18h10)

Depuis notre réconciliation en 2006, nous vivons de manière co-locative. Nos comptes sont séparés, ma femme n’ayant qu’un petit revenu, elle est trésorière du compte courses divisé par trois car nous avons un colocataire. Elle a sa chambre (une chambre de Barbie). Nous avons nos plans cul séparés. Par contre, nous sommes très complices et elle (quand je suis seul) me rejoint chaque nuit. Beaucoup de drague et d’intrigues entre nous. De 1984 à 2006, nous ne nous étions jamais disputés. Depuis 2006, une fois par semaine. Elle prend des vacances ou week-end sans moi. Cette année, nous avons prévu de les prendre ensemble. Voilà pour notre couple libertaire.

La découverte de Soumidid (18h42)

En 2008, ma femme est la soumise de Boris et son modèle pour démo de shibari. Lors d’un show, il m’invite à y assister (surtout pour conduire la voiture). En plus de ma femme, il y a une jeune fille d’une vingtaine d’années (super jolie). Chorégraphie individuelle des filles et en mode lesbienne. Boris me demande (connaissant mes tendances) si je veux faire un show encordé plus suspension sous les ordres de la jeune fille. Nous nous mettons d’accord (la salle est pleine), je garde boxer torse nu. Tout le monde est ok. Ma première montée sur scène ! Dès que j’ai les mains attachées et un bâillon en corde, cette salope baisse mon boxer. Nu, suspendu, en public, elle me travaille pince-martinet-cire. Je fais abstraction du public, de leurs cris et des flashs : je rentre en communion par nos regards, elle me donne à boire à la main et de bouche à bouche. Je vis quelque chose de super. Nous aurons l’occasion de nous revoir l’été suivant pour une semaine de deux shows minimums par jour. Je suis h24 en laisse à ses pieds pendant six jours. Mes plus belles vacances humaines.

Point et précision

La pénétration, c’est l’acte de faire l’amour (10h27)

J’adore !

– Comme cela me conforte dans mon idée !!! J’attendais avec impatience que vous lisiez mon article de ce jour (“De la pénétration sacrée”), que j’ai écrit avant nos échanges bien sûr. Parce que cela me hantait de savoir si vous y percevriez des éléments aidant pour vous. Pouvez-vous développer ?

– Prenons mes expressions : « une femme n’est pas un spermoire ». Je n’arrive pas à y mettre les doigts. Encore moins la goder… malgré tout ce que j’ai vécu, je crois en l’amour, je ne sais faire que l’amour avec différents préliminaires. Love, jeux d/s, jeux de rôle, au final quand je suis dans elle je l’aime ! prêt à tout donner pour son plaisir, d’où le blocage du mien lors de l’éjaculation et la panne érectile

– Prêt à tout donner > blocage de votre plaisir ? panne ? Comment l’expliquez-vous ?

– Quand je fais l’amour, je transpire, je suis à bout de souffle, je contrôle chaque partie du corps de ma partenaire. Quand l’envie d’éjaculer est trop pesante, je débande. Cela peut arriver après cinq minutes de coït comme après une heure. Alors, je ne prends pas mon plaisir

– L’envie d’éjaculer trop pesante ? Pourquoi pas « trop forte » dans le sens agréable ? Qu’est-ce qui vous fait débander à ce moment-là ? Quelle est la pensée qui vient ?

– Je ne veux pas salir ma partenaire, ni en elle ni sur elle

– Pourquoi votre jouissance éjaculatoire ne pourrait être une offrande plutôt qu’une salissure ?

– Peut-être parce que je n’aime pas quand les mecs me crachent dessus. Peut-être à cause du mouchoir…

– Je suggère de remplacer cette image venant du passé et liée à votre enfance qui vous a appris que la pénétration et l’éjaculation ne pouvaient être que sales, humiliants, violents, pervers, dégoûtants, répugnants et malsains. Dans mon texte, je parle de pénétration sacrée, du don de la jouissance de l’autre. Avez-vous le souvenir d’avoir déjà ressenti cela, ne serait-ce qu’une fois ? Une période ? Une personne ?

[pas de réponse]
C’est beau (11h00) (sur l’envoi du deuxième chapitre)

– Bonjour (j’ai oublié tout à l’heure). Il vous arrive de dormir ? Bon là, j’ai pleuré à la lecture ! les 12/13 ans ne sont pas digérés. Mon côté macho l’avait digéré mais mon « vrai moi », non. J’ai lutté pour ne pas reproduire, et par cela j’ai influencé toute ma vie sexuelle.

– C’est l’intérêt du travail que nous faisons je pense. J’attendais aussi votre réaction à la lecture des synthèses que je fais de vos récits. Il me semble que le processus est fort intéressant : vous vous livrez, je mets en forme, et vous redécouvrez votre histoire pour atteindre la délivrance. Quand vous avez écrit que c’est digéré, j’avoue en avoir douté bien que je vous fais évidemment confiance. Pouvez-vous développer votre pensée de la dernière phrase ? Vous avez lutté pour ne pas reproduire quoi ? Comment cela a influencé toute votre vie sexuelle ?

– Reproduire la bêtise de mon père. J’ai su après sa mort (pourtant il y avait un monde fou à son enterrement) qu’il a abusé, voire violé plusieurs femmes. D’où je viens Madame… j’ai honte. C’est peut-être pour cela que je vous vénère, les femmes… pour excuser mon père.

– A quel niveau placez-vous l’erreur qu’il a fait avec vous ? Assumer d’avoir un père violeur, supporter l’idée qu’il ait pu faire du mal à des femmes, femmes que vous aimez tant, n’est-ce pas ? Avoir réussi à vous faire croire que vous étiez comme lui, un monstre dangereux pour les femmes ? Alors que le vrai danger c’était lui-même ?

[Pas de réponse]

Mon livre préféré (13h59)

– « Je me suis assis au bord de la rivière et j’ai pleuré » Paulo Coelho

–  Superbe ! Je ne me souviens pas l’avoir lu mais je sais cet auteur et ses écrits très beaux. Vous aimez donc lire ! Comment ce livre vous a-t-il touché ?

– La vénération de la femme au point de ne pas savoir lui offrir ce qu’elle attend. Le parallèle entre Dieu et la femme. Le 8 décembre est un jour de fête pour moi, peut-être le seul de l’année.

– A quoi correspond-il ?

– Vous n’avez pas de calendrier ? L’Immaculée conception. Pour une partie des chrétiens, c’est reconnaître Dieu en la vierge Marie

14h12 sur “après le décès de mon père”

–  Je vous crois. Quel serait l’intérêt de me mentir ?! Vous avez donc déjà fait votre geste envers elle. Vous lui avez donné votre jouissance ! Votre femme n’est donc pas la seule que vous arrivez à pénétrer même à 40 ans passé ! Avez-vous eu la sensation de la salir ? De vous vengez ? Ou cherchiez-vous à vérifier son amour pour vous ? Pour donner du sens aux gestes de votre enfance et réparer, pardonner ?

– C’est peut-être la seule fois de ma vie où j’ai pris mon pied à l’éjaculation dans une femme. Oui, je voulais vérifier jusqu’où elle irait pour moi. Je reste convaincu qu’elle a été autant manipulée que moi, qu’avec moi (elle avait mon âge)

– Donc éjaculation avec plaisir rime avec amour, don de soi, offrande. C’est fortement possible en effet.

Suicide (14h35)

– Pour moi, nous sommes tous mortels. Celui qui se suicide pour fuir ce qu’il vit ou appréhende la suite comme moi à 25 ans, c’est trop con. Celui qui ne veut pas vieillir, qui veut mourir en bonne santé en restant digne, c’est noble. Celui qui le fait dans une pulsion incontrôlée, c’est con

– Je ne porte aucun jugement sur aucun acte

– Euthanasie ou suicide ?????

–  Grand sujet ! L’euthanasie est une question qui me passionne depuis longtemps. Pour moi, elle correspond à une situation où il n’y a plus d’espoir, physiquement ou mentalement. Mais avant d’y arriver, il faut vraiment avoir essayé.

– Nous sommes d’accord 

Fantasme (13h27)

 – Nous sommes trois : Béa, vous et moi. Elle vous raconte qui est mon père, qui était ma mère et elle vous parle de l’enfant que j’étais. Tout le monde est mort, son fils s’est suicidé, je suis convaincu que mon père a abusé de ses filles. J’ai vraiment envie de lui pardonner. Je voudrais lui dire « je te pardonne » au nom de la femme qu’elle est avant qu’elle ne décède. Certes, elle a été une forme de bourreau pour moi mais c’est une femme.

– Savez-vous pourquoi son fils s’est-il suicidé ? Avez-vous des contacts avec ses sœurs ? Pourquoi ne m’avez-vous jamais parlé de votre frère ? Très belle idée que de lui écrire à Béatrice. Pourriez-vous préparer cette lettre que vous aimeriez lui écrire avant sa mort ? Sans la pression de savoir si vous allez lui envoyer ou pas.

– Bonne idée la lettre. Mon frère a été protégé des pervers par ma sœur et moi. Dany le fils de Béatrice, suicidé, avait découvert que sa mère baisait avec mon père et moi. Je me sens 100/100 responsable de son suicide. Si je croise l’une de ses sœurs, je baisse la tête.

– Ce ne peut être la seule et unique raison d’un geste aussi fort ! Si vous vous en sentez responsable à 100%, qu’en est-il de votre famille quand vous reproduisez vous-même ce geste ? Le seul responsable d’un suicide est l’auteur de l’acte lui-même ! Non ?

– Pour le cas de Dany, je l’ai vu arriver. Si j’intervenais, j’allumais la mèche de la bombe juridique. Je crois que j’ai fait l’autruche pour protéger maman et Béa du tribunal. Dany est mort, oui il a décidé. J’aurais quand même pu essayer non ?

– Le fils de Béatrice s’appelait Dany alors mon premier amour aussi et il s’est suicidé à l’âge de 18 ans après qu’on en ait longuement parlé. Ma philosophie déjà à l’époque (j’avais 17 ans) était que c’était son choix, que je ne pouvais rien faire pour lui s’il ne pouvait rien faire pour lui-même. Nous avions des échanges écrits, j’ai été entendu par la police (les parents avaient porté plainte pour non assistance à personne en danger !)… ça été difficile mais je n’ai jamais culpabilisé. J’ai écrit sur cet épisode : https://ladyerell.com/perpetuels-coups-de-foudre/. Ça nous fait un point commun de plus.

– Moi j’ai la sensation de vous connaître depuis toujours. J’ai vraiment envie d’une séance photo. De la pudeur de l’esprit à l’exhibition du corps.

– Avec plaisir ! Cela ne peut être qu’intense maintenant que l’on se connaît (un peu ;)). Nous devrons attendre le mois de juin pour une séance en journée en semaine. A moins que vous puissiez vous libérer un lundi soir avant…

– Je pense que cette séance sera décidée à l’arrache en mode pulsion.

– Ça ne sera pas forcément évident mais on verra bien. Si ça doit se faire, ça se fera.

17h47 sur “mon dernier plan cul sans ma femme”

– Pourquoi avez-vous des trous noirs ? État second ? Le subspace ? 

– État second, subspace, transe, méga lâcher prise. Je serai heureux de pouvoir vivre la même scène au service d’une dame

20h10 – Point

– Mon enfance c’était assez facile car j’étais victime. Ma jeune vie d’adulte, c’est moi qui vais devenir pervers narcissique. Il faudra me laisser un peu de temps, je ne suis vraiment pas fier de ces trois années. Après, ça ne sera que résilience dans le monde libertin et bdsm. 

– Je me doute. Prenez le temps qu’il faut. Je connais aussi très bien le domaine des PN…

Précision (20h29)

N’allez pas stresser si nous avons un problème de communication car vous n’existez que sur mon portable. Avant de vous connaître, j’avais prévu pour des raisons logistique et administrative une fin pour juin. Passionné par notre « folie », curieux des retours à mon avis, comme je ne veux pas mourir en hiver, il me faudra attendre juin 2020. Pour maintenant, là, je pleure beaucoup, je ne mange plus mais je n’ai pas envie de disparaître. Quand j’étais petit, mon père m’interdisait de pleurer. D’après des récits de ma grand-mère, il était violent avec moi. Il m’aurait tabassé à mes trois ans, créant un gros gros couac familial. Mes grands-parents étaient géniaux, mes plus beaux souvenirs d’enfance sont chez eux dans leur ferme avec animaux et tracteurs. Après le décès de maman, mon frère m’a dit : « t’inquiète pas pour tes souvenirs galères, je ne sais pas tout mais je suis au courant de beaucoup de choses et je suis prêt à témoigner si tu as besoin ».

Gollum

Humour (12h29)

– Attention Maître Ray est là ![jointe une photo d’une figurine représentant un personnage accroupi, une grosse tête, peu de cheveux et faisant une tête agressive, pas content]

– Qui c’est celui-là ?

– Le Maître de ma femme

– Racontez-moi ce que représente cette figurine, ce personnage, d’où vient-il ? Son histoire ?

– Je vous l’ai dit ! le Maître de ma femme ne ressemble à rien. Enfin si, à Gollum. Elle l’a invité à déjeuner, il est là, chez moi, chez elle, chez nous aujourd’hui 

– Pourquoi êtes-vous jaloux de lui ?

– Non réaliste

– Au-delà de son aspect physique, vous n’êtes pas jaloux ?

– Je suis dégoûté… nous sommes à l’opposé physiquement, cérébralement[1]. Il la fait jouir, se sert d’elle pour attirer d’autres femmes ou couples pour échange. Il dit qu’il l’aime… putain nous sommes décalés.[2] Jaloux de quoi ? De ce qu’il est ? Je préfère être ce que je suis Madame (et je commence à en avoir assez de dire Madame). Comment puis-je vous appeler ?

– Excellent !!! Vous n’avez donc rien à lui envier ! Inutile de l’humilier donc… l’ignorance étant la meilleure défense à mes yeux. Erell ! Le Madame était récent dans nos échanges et n’avait aucune raison d’être, je suis bien d’accord.

 

[1] Il ajoutera plus tard suite à une question : “je me suis mal exprimé : Gollum est un ancien enseignant et homme politique, il est intéressant par sa culture, très balèse en histoire, de mère allemande. Comme Caro d’ailleurs les deux dans le rail de leur culture.”

[2] Pourtant, dans les derniers chapitres, tu révèles ta position par rapport à leur couple et le fait que tu les as confortés dans leur amour (???)

Si vous avez raté le début, c’est ici.

L’épisode précédent.

2 commentaires sur « Le bonbon à la menthe – Partie 1 – J6 »

  1. Bonjour Lady Érèll,
    Je suis en train de lire le J6 du camionneur, une phrase que je pense et que j’aurais dû écrire depuis longtemps « C’est peut-être pour cela que je vous vénère, les femmes… pour excuser mon père. », pour moi j’aurai ajouté « ma mère » bien que mon vécu soit différent de celui de Laurent (c’est son prénom ?).
    Oh, la, la ! en accord, encore !
    « Certes, elle a été une forme de bourreau pour moi mais c’est une femme. »
    Trop fort !
    « De la pudeur de l’esprit à l’exhibition du corps. » c’est probablement ce qui me guide au long de nos rendez-vous photos.
    Merci pour votre bienveillance.

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