Confession par l’écrit

« Vous comparez votre cerveau au disque dur de votre pc : il a besoin de nettoyage pour ranger les fichiers temporaires de défragmentation. La confession par l’écrit c’est ça. Ça ne vous apprend rien, ça ne vous endommage pas non plus. Vous êtes justes bien au fil de vos confessions. Nous oublions des choses qui finissent par polluer le cerveau et sans nous en rendre compte, ces petites choses influencent les grandes décisions de notre vie. Pire, nous empêchent de nous épanouir.

Je ne sais pas si notre Lady Érèll va tenir le choc. Car moi, elle m’a aidé énormément par sa pugnacité pendant 15 jours. Déjà 86 pages retranscrites (à la relecture, si vous vous sentez ridicule, c’est normal).

Je vous le conseille à tous. Merci. »

La confession par l’écrit que je propose ici consiste à tenter de se guérir de ses maux à travers la confession et l’écriture. C’est une forme d’auto-thérapie dont je ne suis que le guide par l’échange à l’écrit par e-mail.

A l’instar de l’écrithérapie, qui est le premier mot auquel j’ai pensé (puisque j’aime en inventer – cf l’amospasie -) mais qui est déjà utilisé et protégé, et au-delà du travail qui peut être fait grâce à l’écriture à soi-même dans un journal intime (exercice que je pratique maintenant assidûment depuis 7 ans), c’est suite aux échanges avec certains de mes lecteurs que l’idée a germé.

La confession peut donner lieu à publication sous forme d’articles sur le blog (rubrique articles partagés) ou même de livres si la matière est suffisamment riche et pertinente, sans obligation.

Alors, si vous osez vous prêter au jeu, c’est par ici et c’est à contribution libre !

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