Les confessions d’un soumis débutant

En arrivant dans son donjon, comme elle le nomme, je suis surpris de découvrir une jeune femme, certes revêtue de cuir noir et de diverses petites choses qui lui donnent une apparence de maîtresse dominante, mais avec une personnalité toute gentille et à la voix toute douce.

À son invitation, j’enlève mes vêtements et m’installe dans son petit sauna prévu pour une personne. Elle disparaît de mon champ de vision. Une musique étrange débute. Et là, grâce à un miroir astucieusement placé, je la vois débuter une lente danse. Elle porte un masque blanc, aussi étrange que troublant. Son regard a changé. Ce n’est plus la jeune femme douce du début. Petit à petit, elle se reproche et vient danser devant la porte vitrée du sauna. Son regard est si troublant qu’il fait à lui seul se dresser mon sexe. Elle danse en se caressant lentement à travers ses vêtements. Et à mesure, sa poitrine se dévoile. Je reste plus d’une demi-heure assis dans le sauna en sueur et comme envoûté. Elle disparaît à nouveau puis revient sans son masque pour me délivrer du sauna. Fin de la première partie.

Après une douche et un massage du crâne tout en parlant de choses et d’autres, elle me bande les yeux et attache mon sexe avec un foulard ou quelque chose qui y ressemble. Puis, elle me tire par le sexe pour me conduire à une table de massage où elle m’installe en prenant soin de bien attacher mes poignets et mes chevilles. Couché sur le ventre, je reçois un massage du dos, tantôt relaxant, tantôt plus tonique. Sa voix change, et elle me glisse à l’oreille : « À présent, on va jouer un peu ! ». Ces mots, et surtout le ton de sa voix ont sur moi un drôle d’effet : un mélange de crainte et d’excitation. « Le jeu est simple », me dit-elle. Elle va me toucher des pieds à la tête avec un objet. Si, arrivé au niveau de la tête j’ai trouvé l’objet, je gagne. Sinon, je serai puni.

Premier objet. Tout de suite, je devine que c’est une baguette ou un bout de bois. C’est du bois ! c’est certain, le bruit et la sensation sur ma peau : aucun doute. « Bravo ! » me lance-t-elle, « c’est très rare de trouver si vite ». Moi, tranquille, je me dis qu’il ne va pas être très drôle son jeu, je suis bien trop malin. « Mais votre réponse est incomplète » m’annonce-t-elle. Et là, au son de sa voix, je comprends que c’est un piège. Il fallait encore trouver la première utilisation qu’elle avait faite de cette baguette. Elle me donne des indices tout en continuant à parcourir mon corps avec ce morceau de bois de façon pas toujours agréable, juste ce qu’il faut pour me troubler alors que je dois me concentrer pour résoudre l’énigme. « Vous avez joué à ‘rapporte’ avec un chien ! ». « Bravo ! très fort ! » me répond-elle « mais, quelle race de chien ? ». Là, c’est mort, j’en connais si peu que je vais être puni c’est certain ! (en même temps, je suis un peu là pour ça aussi). Évidemment, je ne trouve pas la race et pour cause c’était un homme ! un client qu’elle a transformé en chien le temps d’un jeu et à qui elle lançait ce morceau de bois. Avec une voix remplie de malice, elle m’annonce que pour la peine je serai fessé. Au début, les petites tapes sont très agréables. J’ai les fesses assez musclées, tu peux y aller ma petite ! « Oh oui, plus fort ». Ça commence à être douloureux, mais supportable. Encore plus fort, je résiste pour ne pas lâcher un son. « Aïe ! ». « Enfin, tu lâches un son ! j’adore ! » me dit-elle d’un air si satisfait que je résiste avant d’en lâcher un deuxième puis encore et encore. A ce moment, je suis en train de prier pour que ça s’arrête. « Voilà, tes fesses sont à présent rouge cerise, la couleur que j’adore ». Ouf ! fin de la première punition. Je crois qu’au fond de moi, j’ai adoré.

Le deuxième objet est une roulette piquante. J’ai assez vite trouvé le nom mais impossible de trouver le nom de son inventeur (un hollandais avec un nom complexe). D’ailleurs, j’ai intérêt pour la prochaine fois à retrouver le nom sinon ce sera terrible. La punition a été une horreur absolue pour moi. Avec un objet non identifié, elle s’est mise à me chatouiller les pieds pour commencer, puis tout le corps, accompagnés de « guilis-guilis » qui sortaient de sa bouche d’une voix farceuse. Cela m’a remis en mémoire quand mes deux petites sœurs se jetaient sur moi pour me chatouiller. Je suis hyper chatouilleux par moment et c’est même douloureux à vivre. C’est bon, mais douloureux en même temps. C’est à ce moment-là que j’ai compris pourquoi elle avait pris tant de soin à m’attacher. Je me suis débattu dans tous les sens. Un moment terrible, et terriblement bon à la fois. Puis, comme dans un réflexe de survie, j’ai maîtrisé mon souffle, je me suis calmé et suis devenu insensible aux chatouilles. Trop facile finalement. Pour la deuxième partie de la punition, elle m’a fouetté le dos avec un martinet en latex. Le bruit était impressionnant mais la douleur douce et agréable, limite bandante. Fin de la deuxième punition.

Pour la troisième partie du petit jeu, cette fois elle me touche avec un objet très doux et léger. Je pense tout de suite à une plume. « Non ! ce n’est pas ça ». Un foulard plutôt. Il me faut encore en deviner les motifs et la personne qui lui a offert pour échapper à une nouvelle punition. Au fond de moi, j’ai très envie de connaître cette nouvelle punition. Je cherche à trouver la bonne réponse tout de même, mais pas simple de rester concentré avec la douceur de la soie sur mon corps qu’elle prend soin de passer sur des zones sensibles. Je suis toujours allongé sur le ventre solidement attaché, les jambes légèrement écartées. Et cette soie qui me caresse l’entre-jambe est très, très, troublante. Mon esprit n’est plus suffisamment clair pour trouver les bonnes réponses. La punition est méritée. Elle va s’amuser avec de la cire chaude, qu’elle fait tomber à petites gouttes sur mes épaules. C’est agréable et cette punition me plaît pour le moment. Oui pour le moment. Car un changement de bougie et voilà que la cire est plus chaude, et surtout le bas du dos et les fesses sont bien plus sensibles. « Encore 22 gouttes », me dit-elle, « veuillez compter à voix haute ! ». 1, 2, 3, 4… A 10, je suis déjà à la limite, je prends sur moi et me concentre sur le décompte. 15, 16, 17 : encore un petit effort, je souffre. 21, 22 : zut ! c’est déjà fini ! que la souffrance a un côté agréable finalement !  « Je vais à présent enlever la cire, vous détacher et vous allez avoir droit à une petite récompense. Vous avez été un partenaire de jeu très agréable » me dit-elle. Je souffle : la suite devrait être moins douloureuse.

La dernière partie est bien différente. Une fois détaché, elle m’invite à me coucher sur le dos, elle détache également mon sexe tout en me gardant le bandeau sur les yeux. Après quelques caresses un peu partout, elle concentre son attention sur mon sexe déjà très dur et finalement très échaudé depuis plus de 2 heures. Les mouvements sont calmes et précis. A tour de rôle, chaque partie de mon sexe y passe. Difficile d’en parler avec précision car je suis dans un état second. Quand, tout à coup, sans prévenir, je libère des jets de sperme en grande quantité. Allongé sur cette table de massage, je souffle pendant que ma masseuse me nettoie avec soin. Je ne suis plus vraiment sur terre. Le retour à la réalité en sortant tout à l’heure va sûrement me sembler étrange. Le bandeau enlevé, je file me rincer sous la douche.

À ma sortie, elle m’offre une tisane au romarin. Je retrouve la jeune femme presque timide du début. Nous parlons un peu pour prévoir ma prochaine venue. Je suis habillé à nouveau et quitte cet endroit des plus étranges. Il est 17h50, je dois vite reprendre mes esprits car à 19h j’ai rendez-vous avec une mère noël plutôt très sexy.

Pour en savoir plus, ou moins : http://www.magma-des-sens.com/presentation.html

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